Les immobilisations doivent apparaître au bilan à leur juste valeur. C’est à dire que si une immobilisation a subit une dégradation prématurée de son état (accompagné d’une diminution de sa valeur), il est nécessaire de comptabilisé cette perte de valeur, c’est ce que l’on appelle la dépréciation.
Définition d’une dépréciation.
D’une manière générale, une dépréciation correspond à la constatation d’une perte de valeur probable et inattendue sur un élément de l’actif. Inattendue : ici réside une des différences entre une dépréciation et un amortissement. Un amortissement correspond à la perte de valeur normale d’une immobilisation, perte de valeur qui est due à l’usure et à l’utilisation de cette immobilisation.
Conditions de validité d’une dépréciation.
Pour être valide (en cas de contrôle fiscal), une dépréciation doit remplir certaines conditions : Le montant de la dépréciation doit pouvoir être estimé avec précision. Elle doit respecter le principe de prudence : Une dépréciation ne vient jamais constater un gain de valeur probable.
Effets d’une dépréciation.
Après avoir compris ce qu’était une dépréciation, il faut comprendre quels sont les effets comptables et fiscaux de leur constatation.
Effets comptables
Une dépréciation vient diminuer la valeur d’un bien de l’actif (une immobilisation, les stocks…) au bilan. Etant donné qu’une dépréciation est une charge, elle vient diminuer le résultat de l’exercice où elle est constatée.
Effets fiscaux
Comme vu ci dessus une dépréciation vient mininuer le résultat comptable de l’exercice, donc la base fiscale de l’entreprise sera abaissée d’autant et ainsi, l’entreprise paiera moins d’impôts lors de l’éxercice où la dépréciation a été constatée.
Comptabilisation d’une dépréciation.
Supposons que l’entreprise veuille déprécier un terrain pour 10 000 euros au 31/12/N :
Enregistrement comptable :
31/12/N
6816
Dotations aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles
Les immobilisations doivent apparaître au bilan à leur juste valeur.
C’est à dire que si une immobilisation a subit une dégradation prématurée de son état (accompagné d’une diminution de sa valeur), il est nécessaire de comptabilisé cette perte de valeur, c’est ce que l’on appelle la dépréciation.
Définition d’une dépréciation.
D’une manière générale, une dépréciation correspond à la constatation d’une perte de valeur probable et inattendue sur un élément de l’actif.
Inattendue : ici réside une des différences entre une dépréciation et un amortissement.
Un amortissement correspond à la perte de valeur normale d’une immobilisation, perte de valeur qui est due à l’usure et à l’utilisation de cette immobilisation.
Conditions de validité d’une dépréciation.
Pour être valide (en cas de contrôle fiscal), une dépréciation doit remplir certaines conditions :
Le montant de la dépréciation doit pouvoir être estimé avec précision.
Elle doit respecter le principe de prudence : Une dépréciation ne vient jamais constater un gain de valeur probable.
Effets d’une dépréciation.
Après avoir compris ce qu’était une dépréciation, il faut comprendre quels sont les effets comptables et fiscaux de leur constatation.
Effets comptables
Une dépréciation vient diminuer la valeur d’un bien de l’actif (une immobilisation, les stocks…) au bilan.
Etant donné qu’une dépréciation est une charge, elle vient diminuer le résultat de l’exercice où elle est constatée.
Effets fiscaux
Comme vu ci dessus une dépréciation vient mininuer le résultat comptable de l’exercice, donc la base fiscale de l’entreprise sera abaissée d’autant et ainsi, l’entreprise paiera moins d’impôts lors de l’éxercice où la dépréciation a été constatée.
Comptabilisation d’une dépréciation.
Supposons que l’entreprise veuille déprécier un terrain pour 10 000 euros au 31/12/N :
incorporelles et corporelles
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